Rumeurs de la Taverne

Ici vous placerez toutes les rumeurs internes à la Taverne.

Un(e) illustre inconnu(e) aura déposé un mot sur le comptoir accroché par une punaise :

Citation :

Merci à vous pour le formidable travail que vous faites ici. Le service est très chaleureux, la cuisine excellente et l'entretien irréprochable. Merci à vous, sincèrement.

Voilà 3 jours que le Purgateur errait dans la Taverne, ne descendant de sa chambre louée que pour voir si des Veilleurs n'étaient présent. Il attend impatiemment de pouvoir rencontrer le Commandant des Veilleurs, et de pouvoir aider ceux-ci à traquer le Chevalier Mort-vivant qui leur cause tant de troubles.

Cette nuit il y eut du bruit dans la taverne de Sombre comté...Visiblement quelqu'un était revenu , quelqu'un qui tenait à cette taverne .

La nuit du 12 au 13 fut, à l'étage de la taverne, particulièrement mouvementée. De la chambre qu'occupaient Moraïa et Charlie on aura entendu monter bruits de meubles déplacés, grincements plaintifs de bois,  de verre brisé et de respirations saccadées dont l'origine n'aura trompé personne malgré les relatifs efforts accomplis par les occupants pour taire un tant soit peu la cacophonie.

Et pour peu qu'on aie passé la tête dans l'embrasure de la porte mal refermée après le départ du dernier des deux à ses activités, on aura découvert un véritable champ de bataille de draps défaits et de mobilier malmené, vestiges inertes de la fiévreuse empoignade.

Après cela, deux choses étaient sûres : ces deux là étaient des plus heureux de se retrouver, et leurs malheureux voisins n'en dormiraient qu'un peu moins bien !

Evgueny avait dormi du sommeil du juste, il ne fut que légèrement troublé par l'activité nocturne de la chambre voisine. Ce réveil lui arracha un sourire et il fixa sa dame assoupie. Et rien de tel qu'une bonne chope d'hydromel pour se rendormir paisiblement !

Comment est-ce qu'il aura fait, ça, mystère.
Toujours est-il qu'on aura vu Charlie, au cours de l'après-midi du 14, revenir en ville avec pas moins de deux seaux débordants de poissons fraîchement pêchés, une canne rudimentaire passée sous le bras.

Rapidement englouti par la taverne après quelques saluts de rigueur à quiconque aura croisé sa route, le gouailleur se sera approprié la cuisine jusqu'en début de soirée. De là, on aura entendu une autre sorte de grabuge que lors des caracolades nocturnes : rondeaux et marmites, poêles et casseroles, couteaux et soupières se seront allègrement entrechoqués plusieurs heures durant avant que la tempête ne se calme.

Finalement, une table aura été réservée pour supporter les résultats de ce remue-ménage. Marmite de soupe de poissons, fritons d'anguilles et filets de truites, papillotes et autres plats simples mais diablement efficaces accompagnées de petits pots de sauces adaptées auront été proposés au tout-venant grâce à un simple écriteau  ; "Veillez à ne pas gâcher !"

On aura noté un plat sous cloche, un peu plus élaboré, notifié d'une petite étiquette adressée à Unicae.
Sous le nom du Haut-Veilleur, une petite phrase signée de Charlie : "Fort malheureusement je n'ai pas les moyens d'acheter du poison à mettre dans l'assiette. Dommage ! Vous devrez vous contenter d'un peu de sel et d'un remerciement pour l'effort de l'autre fois."

Le cuistot-pêcheur, toutefois, aura été introuvable pour le reste de la soirée.

Citation :

Poste à pourvoir

Sombre-Comté recherche pour sa taverne :

- Un ou une Tavernier(e)
- Des serveuses
- Un cuisinier

( Si vous êtes un gérant de taverne vous pouvez venir avec votre équipe )

- Vous serez en charge d’accueillir les aimables voyageurs et la clientèle habituelle. 
- Vous prendrez aussi en charge la location des chambres et leurs entretien
- L'entretien de locaux et vos lieux de travail

Si cela vous intéresse veuillez vous présenter au bois de la pénombre auprès de la Mairie ou prendre contact avec un Veilleur qui vous rapprochera d'un des officiers.   

Reprenant son souffle, elle se redressa et adressa un regard goguenard à Charlie :
- Perdu.
Elle piqua un baiser sur le bout de son nez, et ignora sa remarque concernant une potentielle tricherie de sa part, totalement injustifiée - d'ailleurs. Bon joueur ou pas, elle avait gagné haut la main et il devrait maintenant se coller au désordre qu'ils avaient mis dans la cuisine. Elle jeta un regard circulaire à la petite pièce avec quelques remords, se redonna une certaine contenance, et sortit de la cuisine, le plantant sur place, un petit sourire pas peu fier vissé sur les lèvres.

Heureusement, ce matin, la taverne et les alentours semblaient déserts. Personne n'aurait donc pu voir ou entendre trois voyageurs et une recrue rentrer dans la cuisine, discutant un long moment à voix basse, puis deux individus en sortir après quelque temps, laissant finalement deux fauteurs de troubles en tête à tête.

( Je reprend la rumeur que LEmmy à laisser sur le forum de la garde au lieu au moins d'en laisser une trace sur le forum des Veilleurs signalant la mort de son personnage.)

Citation :

Sombre-Comté, Bois de la Pénombre.

Un soir de fermeture comme un autre pour Lemmy Fraser, tenancier de la taverne de La Bûche, les derniers clients sortent de l'établissement, souvent l'air joyeux et pompette, heureux de jouir d'un si doux foyer dans ces bois maudits. D'une fenêtre, on peut voir Lemmy ranger les chopes de bois derrière le comptoir et nettoyer les tables. Profitant d'un agréable soir de printemps, il a volontairement laissé cette fenêtre ouverte, pour laisser entrer l'air doux et l'odeur des bois.

Quel inconscient...

C'est alors qu'on entendit des rires espiègles venant de dehors, d'une voix cassée rappelant celle de quelque ivrogne à la gorge brûlée par l'alcool. Lemmy n'y prêta guère attention, trop occupé à remettre l'établissement en état pour la prochaine ouverture. Mais les rires insistaient et se faisaient de plus en plus forts, de plus en plus moqueurs. Le tenancier commençait à s'énerver, craignant la présence d'un sac à vin vomissant sous sa fenêtre.
On l'entendit bien, il lança un agacé : "Eh ! Qui va là ?!", puis les rires cessèrent... Et reprirent aussitôt de plus belle ! Mais d'un ton étrange... Comme inhumains, presque souffrant.
"Si tu crois m'faire peur c'est raté ! J'te jure qu'ça va barder ta sale gueule !", lança le patron visiblement très en colère.

On aperçut alors la porte de la taverne s'ouvrir brusquement d'un coup de pied de Lemmy, puis il en sorti armé de sa carabine, déterminé à faire taire ce rigolo. Il fit le tour du bâtiment, arme à la main, cherchant le coupable mais s'éloigna trop pour disparaître pour toujours dans la pénombre...

On entendit plus loin les mêmes rires reprendre, mais cette fois en hurlant, accompagné des hurlements de douleur de Lemmy...

On l'avait pourtant prévenu, ces bois sont maudits, des goules rôdent la nuit..

(Source: http://gardedehurlevent.forumpro.fr/t21415p200-rumeurs-de-la-ville-et-ses-alentours )

Affiche placardée au tableau d'affichage de la taverne :