Rumeurs de Sombre Comté

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A peine son recrutement terminé avec le haut-veilleur Onay dans le début de semaine que Wice avait déjà déposé des affaires à la forge.

Il fit par la suite, et toute la semaine, plusieurs aller-retour entre Hurlevent et Sombre-Comté pour disposer du matériel dans la forge. Des métaux basiques, des marteaux de forgeron, des pinces, des tabliers et autre utilitaire qu'il pouvait avoir besoin.

Il prit également place dans l'une des chambres de l'auberge, aménageant le tout pour que ça soit bien plus confortable pour lui.

Victoria Von Pelt et Evgueny Tharlson avaient respectivement bien trop bu ce soir. Le mage noir mort, Evgueny lui avait tranché la tête et avait passé la soirée à boire dans son crâne, le prêtant à l'occasion à Victoria.

Des derniers veilleurs encore debout tard dans la nuit, personne ne vit rentrer Evgueny qui avait l'habitude de dormir près du feu... Personne ne vit plus non plus Victoria. On raconte qu'ils sont partis bras-dessus bras-dessous jusqu'à la forge.

Ce qu'il advint après n'est pas conté ici, mais certaines nuits dans la Pénombre sont courtes...

Messages : 472 Date d'inscription : 30/12/2016

Elle c'était réveiller dans la nuit, comme un sommeil sans rêves, des tambours trolls pleins la tête. Oh! Merde elle avait bût, elle n'avait jamais bu de sa vie. Elle se souvient du début de sa soirée, elle avait enlacer Randal le pauvre avait était assommé et drogué tout comme elle avant le repas et de plus jeter dans les escaliers, elle desirait plus que tout protéger cette âme innocente, ce qu'il lui a parut fragile entre ses bras. Puis il y a eu la chasse au felmage, une jeune âme perdue au yeux de la paladine au cœur très sincèrement trop pur.

Elle regarde ses mains qui sont floues, elle voit les bandages, se souvient d'avoir taper sur ce malheureux arbre, elle avait pleuré de rage, Peter et Wice était là, simple grand bout de femme fragile. Wice c'était occupé d'elle, il l'avait mené à sa chambre, après lui avoir pratiqué les soins nécessaires, il lui avait fait du charme. Elle met les mains sur ses joues chaudes sûrement rouge, il lui avait fait un drôle d'effet, son estomac encore barboullier et la gorge noué, elle avait fuit, il lui avait juré qu'il obtiendrait, touchée mais fortement perturbée par cette déclaration, elle avait bu.

Un hoquet de bile remonta de son estomac, elle avait bu dans le crâne de l'enfant avec Evgueny, elle lache un juron en ce tenant la tête, elle l'avait embrassé et c'était tourner en ridicule.

Un mouvement près d'elle l'a fît sursauter, elle remarqua alors qu'elle était nue, des petites morsures et griffures sur le corps. Elle tournât la tête vers l'autre côté de sa couche, elle devient alors aussi pâle que la lune, un homme nu dormait près d'elle, elle remarqua ses étranges tatouages, elle comprit alors.
Ses maux de tête eurent raison d'elle, elle prit une couverture et s'enroula dedans, décidément elle ne toucherait plus à l'alcool, qu'elle bêtise avait-elle faîtes, elle espérait avant de fermer ses yeux qu'il serait partit à son réveil.

Evgueny se leva tôt, quand le beffroi sonna les six premières heures de la journée. Il rejoignit l'auberge, la bouche pâteuse la tête embrumée. Il alluma le grand feu de l'âtre, avisa le bidon d'hydromel et les chopes sur le comptoir... Alors se saisissant de son crâne à boire il vida le fût et se posa devant la cheminée, fumant sa pipe longue, les jambes étendues, visiblement heureux...

C'est alors que les veilleurs Rossignol et Benyson entrèrent, livides, visiblement chamboulés et inquiets... Quel mal guettait donc encore la Pénombre ?

Messages : 472 Date d'inscription : 30/12/2016

A son réveil plus de traces du luxurieux inconnu, connu. Mais une douce odeur de chocolat chaud, elle ouvrit un œil encore enroulée dans sa couverture cachant sa nudité, elle s'assoit en tailleur cachant entièrement son corps mis à part un genou, la couverture glisse de sa tête et dévoile un pitoyable visage entre cheveux emmêles et gueule de bois.
Elle prend le grand bol de chocolat chaud et observe les tartines ainsi que les pots de confitures. Elle se demande qui avait pu lui préparer un tel festin, ce n'était pas sûrement la personne qui avait passé la nuit ici, ni même Randal qui dort au dispensaire.
Elle tachera de mener son enquête ou peut être viendra t’il de lui même, en attendant elle déjeune pensive dans sa forge.

A l'intérieur de l'auberge de Sombre-Comté, visible de tous et surtout des étrangers, étaient désormais posés sur le linteau massif de la grande cheminée, deux crânes préparés...

Dépecés et nettoyés, les crânes étaient apprêtés pour y recevoir la boisson de la victoire. Sur le linteau fut inscrit cette volonté :

"Nous buvons à la victoire dans les crânes de nos ennemis défaits !"

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Il ne comprenait pas certaines choses ? Après tout, malgré son côté sociable et amicale envers les gens, Wice reste parfois un grand introvertie, préférant la solitude pour regarder le monde d'un autre œil.

Il avait passé une bonne partie de la nuit à dessiner un schéma pour construire des paires de menottes pour les Veilleurs comme lui avait suggéré Victoria. Des menottes qui se devaient être solide pour les poignets des worgens et ne pas casser à leur transformation, mais également de pouvoir mélanger le tout avec des enchantements, bloquant ainsi les flux magiques.

Il eu une pensé pour Victoria pendant ses travaux et sourit à peine, il cherchait encore pourquoi la brune ne pouvait s'empêcher de rougir à chacun de ses passages ou même ses mots. Il avait dû dire quelque chose sans le vouloir, ou bien était-elle intimidée ? Il n'en avait pas la réponse. Mais il appréciait doucement la grande brune en armure sombre.

La nuit fût courte, pris d'un cauchemars puissant, le roux semblait manquer d'air, la bouche grande ouverte, les deux mains sur son cou. Il finit par prendre le dessus sur son rêve et se redresse dans son lit, haletant, le corps moite de transpiration, les yeux grands ouverts alors que son cœur battait à la chamade. Il reprit sa respiration doucement, passant une paluche sur son visage et se décida à sortir du lit. Il ouvrit le robinet pour prendre de l'eau dans le creux de ses mains et finit par se rincer le visage. Il posa finalement son regard vers le miroir devant lui alors que sa tête se redressa lentement. Ses yeux affichèrent ainsi une grande peur. Il soupira, repassa un coup d'eau sur le visage et coupa l'eau du robinet. Il se redresse finalement et vient prendre ses affaires pour sortir.

Dehors l'homme prit l'air dans un premier temps avant de se mettre à courir autour du village, parfois sur les routes, parfois dans la boue. Il s'arrêta à l'arrière de la forge pour porter des charges lourdes et s'occuper de ses muscles mais surtout pour se vider la tête. Les heures passèrent rapidement à son exercice, les premières lueurs du jours traversèrent les bois. Il sourit à peine, souffla un bon coup et se dirigea vers la cuisine pour se faire un copieux petit déjeuné. Il regarda le plateau sur sa gauche, celui dont Victoria avait usé pour se faire ses crudités. Il sourit bêtement avant de préparer un bol de chocolat chaud avec des tartines de pain croustillante et badigeonné de confiture à la fraise.

Il sorti de la taverne pour se diriger vers la forge et déposa le plateau non loin de la brune emmitoufler dans ses draps sur sa paillasse. Il se permit de lui remettre une couverture correctement sur le corps pour éviter le froid. Il prit ainsi des planches en bois pour commencer la préparation du moule pour faire des menottes.

Rompant plus de vingt ans de tradition, Evgueny ne se leva pas aux aurores. Allongé aux côtés de Victoria il se triturait les méninges...
Qui sont donc ces elfes de la nuit, silencieux et invisibles, qui résident dans le bosquet sacré ?
Pourquoi diantre le Thane Brandacier voulait-il garder en vie une créature maléfique qui avait causé tant de malheurs... ?
Il regarda Victoria et oublia bien vite ces questions...

Mais il n'entendit point au dehors, alors qu'avançait déjà l'aurore, le cri décharné d'un vol de corbeaux noirs de jais. Croassants et menaçants sur le toit de l'auberge se tenant. Des veilleurs éveillés qui inlassablement guettaient, certains ressentirent et frémirent, d'un lourd voile d'anxiété...

Messages : 472 Date d'inscription : 30/12/2016

Après leur nuit de braises, Victoria se reposée nue contre Evgueny, elle glisser ses doigts dans la toison de son torse chaud restant pensive. Elle le sentais torturé, ils parlèrent un peu, elle aussi ne comprenait pas l'attitude du Commandant qu'elle porter pourtant en haute estime. Si il garder en vie cette jeune femme, peut être avait il une idée derrière la tête ou simplement devenait il trop vieux pour ses conneries et avez pris en zèle la vertu de la compassion.

Elle profitât de son calme pour faire un dernier assault, dans leur combat de corps à corps bestial. Peut après elle le laissât partir il avait à faire encore, parler aux anciens ou cueillir des herbes, dans le fond elle s'en fichait il était libre de faire ce qu'il avait envie, elle replongât dans ses songes, toujours nue sous ses draps.

Quelques heures après elle s'éveillât, l'odeur du chocolat avait réveiller son estomac qui gronde à présent. Elle s'assit en tailleur et observât le plateau, elle prit une tartine et croquât dedans, mais elles n'avait pas le même goût qu'hier, peut être parce qu'elle se douter de qui avait préparer ce si joli plateau, elle se sentait sale au fond d'elle, elle ne voulait pas le blesser, quel était donc ce sentiment qui la rongée.

Elle se leva dans sa nudité dévoilant les traces des coups et cicatrices anciennes qui parsemés son corps, elle enfilât un pantalon de cuir et son tablier de forge, peut être en frappant le métal ce ressentiment lui passerait peut être. Elle saisit son marteau et s'attelât à la tâche, les éclats de métal fumant et rougeoyant illuminèrent la forge.

Messages : 472 Date d'inscription : 30/12/2016

Victoria accroche une affichette sur le panneau d'affichage, comme elle à promis

Venez nombreux à l'ouverture de l'auberge du Mulot qui Fouille, à Comté du Lac, les Carmines, mardi 16 mai à partir de 21h30 !

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Quelques mots de présentation...

Salut à toi voyageur égaré, aventurier, ou exilé… Pousse la porte de l’auberge et viens mettre les pieds sous la table, laisse toi tenter par l’odeur de la tarte aux pommes de Bugli, et autres joyeusetés papillaires. Dans ce petit coin reculé des Carmines, la discrétion est de mise… On n’a pas besoin de caution pour réserver une chambre, et les patrons ne posent jamais de questions. Mais chacun peut compter sur une oreille bienveillante et attentive si le besoin s’en fait sentir. Que ce soit pour quelques heures ou plusieurs semaines, Le Mulot qui fouille vous accueille de jour comme de nuit.

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Les carmines, 21h42, il venait à peine de poser le pied sur le sol des terres rouges qu'il ne pouvait pas s'empêcher de regarder le ciel et les étoiles. La voûte céleste était magnifique et avec les beaux jours l'air était encore chaude. Il souffla de satisfaction, adressa de sa dextre une caresse modeste au griffon et prit direction de Comté-du-lac.

Ses semelles de cuir recouvraient lentement le pont de pierre, son regard se posa sur tout et n'importe quoi autour de lui, mais principalement sur la lune, haute dans le ciel. Il eu un moment de nostalgie, sa main gauche venant sortir de dessous son plastron son ankh. Il l'empoigna doucement comme un mouvement de réconfort. Il en avait besoin, de temps en temps, après tout il se donnait pour les autres mais ça restait un être humain avec ses problèmes.

Il sursauté quand une main ferme lui empoigna l'épaule, il se retourna rapidement pour réagir et maîtriser la personne qui venait de le surprendre, mais il ne fit rien. Il était désarmé suite au regard à peine luminescent de la rousse qui se tenait devant lui. Elle lui offrit un sourire et lui tapota gentiment l'épaule en signe d'amitié. Il était immobile, il reprit conscience rapidement que ce n'était pas une menace mais bien son amie. Il finit par répondre au sourire, un sourire franc. Elle lui prit la main pour nouer ses doigts avec les siens et le conduit directement à la taverne.

Messages : 472 Date d'inscription : 30/12/2016

La soirée avait débuter par une petite expédition dans la bosquet sacré des Druides Kaldorei, Evgueny, Peter, Evan, Unicae et moi même étions sur place, nous avions pu rencontrer un émissaire de Cercle Cénarien, un druide Gilnéen pour ne pas dire un humain-maudit je n'aime pas ce genre d'appellation. Il était en compagnie d'Adriel le jeune frère Peter, j'ai pu remarquer que la forte présence de magie dans ce lieu perturber clairement les Veilleurs Unicae et Hopkins, mais beaucoup plus Peter. Après quelques échanges de " politesses " avec le druide, Evgueny lui proposât de rencontrer le Commandant Brandacier afin que nous puisons nous entre aider si besoin est.

Après une alliance scellée, et une légère beuverie, un combat entre deux frères bien éméchés, nous avons tous pu apprendre que le comportement troublant de Peter n'était point anodin, il serait hanter dans ses songes par le cauchemar opposé direct du rêve d'émeraude tout comme Lumière et Ombre, il restait peut de temps à vivre à celui ci, hélas.

Peter eut pour le coup beaucoup bu, il demandât même Saleth en mariage, celui-ci refusât catégoriquement, Peter fût alors provoquant pour finir déprimé, je dû lui remonter par la suite le moral, ce qui n'est pas facile pour une personne comme moi qui ne connais pas grand chose en l'amour entre deux être vu que la Lumière lui enseigne que nous sommes un ensemble et non un être unique.

Pendant ce temps là Tharlson effrayait les voyageurs de passage mais je pense pas trop en dire celui ci aimera surement conter lui même ce récit qui provoquât une forte hilarité de sa part.

Après une bonne nuit souhaiter à tous dans la taverne, je partie donc me coucher, je me glissât alors sous mes draps attendant mon beau guerrier.

C'est à une heure très avancée de la nuit qu'Evgueny, heureux, rejoignit sa dame dans la forge.

Bien plus tard au petit matin, alors qu'il venait de déposer de quoi se restaurer à sa belle qui dormait encore, il rejoignit l'auberge et contempla la scène préoccupé...
Car en l'absence de Mia de la Skali du Thane et de Randal le Kolbitr, l'auberge commençait à s'encrasser sérieusement ! Aussi dans la matinée, nettoyant la cuisine, la grande salle, la cheminée, redressant la table et ayant remis une literie propre en chaque chambre Evgueny contempla son œuvre satisfait, jambes étendues, pipe fumante dans une main, chope dans l'autre... L'auberge était rutilante, belle, presque comme neuve.

Il avait passé une excellente soirée la veille. Après avoir mené un groupe de veilleurs enquêter au bosquet sacré, il reçut, non sans honneurs, l'émissaire du Cercle Cénarien détaché sur place. Il s'était souvenu de l'étiquette et des règles formelles de sa noblesse et s'estimait avoir dignement rempli sa fonction de "diplomate d'un soir".

Mais sa plus belle récompense, fut la venue de trois étrangers...

Un homme qui se nommait "Jasmin", une femme, enquêtrice et un Pandaren. Finaud et enjoué Evgueny se mit à leur conter les plus terribles histoires locales sur l'existence de monstres et de créatures toutes plus maléfiques les unes que les autres... Le pandaren avait disparu dans sa chambre avant même le début du récit. La femme et l'homme écoutèrent attentivement. Rapidement Evgueny put lire un vent de panique et de terreur sur le visage de celui qui se faisait nommer "Jasmin". Celui-ci ne tint pas une demie heure et parti au dehors vomir tripes et boyaux de peur ! Le Long-Marcheur reste un peu plus longtemps pour tenter de terroriser l'enquêtrice, sans grande réussite...

Cette soirée fut longue et bien remplie. Cependant il y avait de plus en plus de vie au sein de la Pénombre et cela tranchait avec l'ordre naturel des choses... Mais qu'importe !

Il se releva d'un bon peu après midi et s'en alla consulter tous les rapports de ces deux années d'absence en quête de preuves pour son hypothèse... On le vit aller et venir des rouleaux de parchemins, concentré et plongé dans ses lectures toute la journée...

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Il était parti avant tout le monde aux carmines et pourtant personne n'a vu la silhouette du géant roux. Non personne, pourtant pendant que les veilleurs étaient venus aux carmines pour l’inauguration du Mulot qui Fouille, plusieurs bruits sourds ont été entendus dans les chambres au dessus. Deux personnes qui se battent ? Ou bien un mélange de flues torrides ?

La question ne se posa pas vraiment au vu de certains gémissement suspicieux. Le grand roux, fini par sortir de sa tanière sur les coups de une heure du matin. Les cheveux en vrac, des traces de morsures dans le cou. Il avait bien dissimulé tout cela avec sa sacoche et une écharpe autour du cou l'air de rien.

Une bière, une brève discussion avec le gérant, un homme et encore des veilleurs présent avant de se rentrer à sombre comté.

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Le dix-huitième jour du cinquième mois, un étrange chasseur Démon à était vu dans les bois.

Les Veilleurs savent sont nom Laeh Lamenuit, il semblerait qu'il est été attirer part la noirceur des bois, se retrouvant ainsi en chasse.

Un petit groupe de Veilleurs auraient découvert son campement ainsi qu'un massacre de Worgen, certains voyageurs en auraient même rapporter d'autres, démembrés, laisser en morceau au bord des routesn ont aurait même trouver des goules dans le même état.

Les bois ne sont jamais ses temps-çi mais les Veilleurs, veillent soyez en certains.

Au soir du dix-neuvième jour du cinquième mois, un grand corbeau noir de jais se présenta à Sombre Comté et s'introduisit dans les bâtiments en quête d'un Veilleur présent. Le parchemin était roulé et portait le sceau du Loup de Fer. A l'encre rouge ces quelques mots étaient tracés :

"Hwear Natrjar ! Le soir du Loup approche ! Soyez glorieux et fiers car un grand Destin vous appelle. La longue nuit sera marquée de sang et de larmes !"

Messages : 472 Date d'inscription : 30/12/2016

Les Veilleurs avaient été héroïque hier soir, surtout le Commandant qui avait bravé un des Seigneurs gigantesques attaquant la ville.

Victoria en avait blessé deux mortellement au cours du combat au prés du Commandant, mais celui-ci après avoir entendu dans le communicateur que le Second Lynar et les sergents Herriston et Guerius étaient blessés et en difficultés sur le chemin menant à Deuillevent, il l'a fît se rendre la bas. Elle croisât alors une groupe d'inconnus se battant à leurs tours aussi face à cette horde.

Arrivée sur place, elle restât en arrière évaluant la situation le Haut-Veilleurs Onay à ses côtés elle attendit ses ordres, quand il ne restât qu'un seul felmage, elle entendit le Commandant lui donner l'ordre de sauver le Second. Elle n'hésitât pas et vint prendre sur son épaule le Second, elle courût aussi vite qu'elle pût au dispensaire, puis gardât celui ci.

Quand le calme et la victoire fût revenu dans les bois, elle eut plus tard une discutions houleuse dans l'auberge avec le Sergent Herriston dit t'ont dans l'auberge, certaines personnes l'ayant vu de leurs yeux. Celui-ci avait semble t'il parler de discipline et de sanction et de jeux de dé, elle semblait avoir légèrement perdue son flemme habituel, ressassant ses exploits de la soirée, son maintien et son exécution des ordres, ajoutant qu'elle ne jouer pas au dé, qu'elle n'avait jusqu'à lors jamais eut de sanctions à son égard, qu'elle avait tout de même fait partie de l'armée et avez combattu elle aussi.

On aura pu l'entendre râler en rentrant dans la forge, avant de claquer avec force la porte certains disent l'avoir entendue dire qu'elle n'était pas une enfant qu'on materne. Puis dans ont pu entendre son marteau marteler le métal presque jusqu'au petit matin avec force comme ci elle se défouler.

Au loin dans les étendues gelées, un vent frais fit carillonner les coquillages suspendus au mât du quai de Moa'ki. Evgueny se tenait droit guettant les premiers rayons du soleil, et quand celui-ci se leva, il entama une curieuse danse rituelle, et leva haut les bras au ciel.

Un rohart, des Kalu'ak lui demanda, harpon en main, ce que scrutait le Long-Marcheur.

"Je salue ce soleil naissant dans une aube rougeoyante. Cette nuit le loup fut défait, je le sais..."

Messages : 472 Date d'inscription : 30/12/2016

La géante était tombée hier soir, la fièvre eut raison de son fort caractère, elle était malade, les Veilleurs et même cette inconnu de moine aveugle étaient venus l'épauler, ont lui avait mit un matelas dans la forge car elle refuser de dormir dans le dispensaire de part sa phobie des lieux clos. Peter avait dit qu'il la veillerait.

Elle s'était finalement endormit cependant sa nuit fût longue de part la fièvre et ses délires en causes. Elle ouvrit un œil, les tempes en sueur, il lui semblait voir Evgueny dansant sur des braises entièrement nu, il tenait dans sa main un crane gigantesque munît de deux cornes recourber aussi énorme, il lui hurler quelque chose mais elle n'entendait pas. Puis elle replongeât dans le sommeil.

Elle se réveillât à nouveau, la sensation de ce noyer, elle ouvrir les yeux elle était dans du liquide, elle nageât vers le haut et sortie enfin sa tête de ce qui lui sembler être de l'eau, en observant elle remarquât que c'était une étendue de sang à perte de vue, elle hurlât quand elle commençât à voir ses corps de toutes les peuplades d'Azeroth qui flottaient mortes dessus, elle eût l'impression qu'ont la tirer vers le font, elle eut la sensation que le sang remplît ses poumons, elle se réveillât en sursaut, elle observât la forge, elle vît Peter qui dormait face à elle. Il ouvrit à son tour un œil, et tachât de lui dire des paroles à son intonation de voix semblaient être rassurantes, elle retombât dans le sommeil.

Elle cauchemardât à nouveau, elle courrait dans les bois une robe blanche sur elle qui semblait souillée part la boue, déchirée part les ronces, elle courrait une meute de loups à ses trousses, elle voyait leurs yeux rouges ou argent à droit et à gauche d'elle. Elle se retrouvât subitement face à une abrupt formation rocheuses qui lui bloquer le passage, elle se retournât et saisit un lourd bout de bois, plus de loups seul Wice lui fessait face, il semblait lui parler mais elle n'entendait pas, il hurler maintenant comme saisit part une rage in-contrôler, elle avait peur, elle fermât les yeux et les ré-ouvrit dans une étendue blanche comparable à la neige, en ramassant ce qui était à ses pieds elle remarquât que c’étaient des cendres.

Elle se réveillât alors en sueur haletante, la fièvre semblait partir lentement, elle observât Peter qui l'a regardât et lui sourit, elle se roulât dans la couverture chaude et se rendormît cette fois-ci sans cauchemars.

[ HRP : les cris ont pût alerter certains Veilleurs présent dans le Comté, elle aura pût expliquer ses songes à certains venu lui rendre visite, ainsi que Peter aura pût voir ses délires dans son sommeil et entendre certes noms. ]

Messages : 2 Date d'inscription : 23/05/2017

Une rumeur raconte qu'une jeune médecin serait arrivée en ville dans la journée et aurait été engagée dans la section civile des Veilleurs.

Elle aurait rapidement fait connaissance avec ses nouveaux camarades, puis la jeune femme aurait été conduite par Victoria Von Pelt jusqu'à une petite maison à l'Est de la ville. La demoiselle semblait s'y plaire et aurait accepté de s'y rendre et d'y rester pour le moment.

Certaines personnes qui sont passé par là auront vu Britany arpenter le petit jardin de la maison pour analyser la terre afin de savoir ce qu'elle pourrait bien planter et elle aurait commencé à faire sécher quelques unes de ses trouvailles. Une petite odeur de fleur semble parfois émaner de cette petite maisonnette.

Messages : 1 Date d'inscription : 26/05/2017

Le vieux mystique s'était présenté aux bonnes gens comme un seigneur en maraude et à la recherche de quelques indices au sujet d'un traite au Kirin Tor embusqué quelque part dans les bois de la pénombre. Il s'était voulu discret et pourtant, ses yeux couleur acier et son timbre fantomatique le dénotait très clairement du reste des aventuriers de passage. Voilà quelques jours déjà qu'il s'était installé dans l'auberge, bien décidé à faire de sa chambre son nouveau quartier général le temps de son séjour dans ces contrées du royaume. Ici, le soleil ne se levait jamais vraiment et il aurait été facile de le confondre avec l'un des esprits des bosquets aux alentours de par son teint laiteux et ses auras spectrales.

Quoi qu'il en soit quelques accords furent passés entre le templier et le commandant Brandacier. Pour des raisons inconnues, le chef de la milice semblait avoir le seigneur Greyford à la bonne. Des suites d'un entretien fugace, Thomas aura laissé courir la rumeur de son implication nouvelles dans les affaires de la bourgade pour un temps. Dédié à l'extermination du Mal sous toutes ses formes, le disciple de l'Aube d'Argent entendait accomplir une toute nouvelle quête pour le plus grand bien du Bois de la Pénombre.

Pour les journées qui aillaient suivre, Thomas soulagerai l'auberge de sa présence du petit matin jusqu'au crépuscule. La nuit venue, les autres clients de l'établissement se plaindront de drôles de murmures semblables à des prières, ou même à des rituels provenant de la chambre du templier.

La Croisade Éternelle pouvait reprendre.

Admin Messages : 652 Date d'inscription : 01/07/2013 Age : 36

"Klinc...! Klonc...! Klong... KLANC !"

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Des bouts de verres cassés qui n'ont pas été nettoyés sur le terrain d'entraînement. Beaucoup de débris... Et des Veilleurs qui parlent forts. Rossignol qui profère des insultes et Peter Hopkins qui l'incite à insulter pour défouler la Sergent et qui sait, le défouler lui aussi... Suite à cela un lourd silence... Puis une discussion entre Rossignol sur son perchoir et une jeune femme blonde sur la Place... Et soudain Rossignol descendit de son toit, rentra à l'hôtel ville et ressortit sans tabard. Elle partie en direction du poste de griffon après s'être adressée à son interlocutrice d'avant : "T'inquiète pas, je t'embêterai pas longtemps ici".

Ainsi le Rossignol quitta son nid...

Messages : 144 Date d'inscription : 22/12/2016 Age : 23

La rumeur se propageait que Geurius avait perdu son grade et été enfermé au dispensaire, peu savait pourquoi il y était, encore moins quelle était la raison, même lui n'étais pas sûr.
Commençant à perdre la raison et la mémoire, il passait ses journées à écrire, tout ce dont il se souvenait, tout ce qui lui passait par la tête, des pages se retrouvant éparpillées un peu partout, en une nuit il avait prit un coup de vieux, le regard vide, la main tremblante, il se sentait partir mais espérait toujours qu'on le sauve, il gardait foi, tant bien que mal, envers le Commandant et les Veilleurs.
Espérant que son acte n'était pas dû à une folie s'instillant dans son esprit mais à un résidu du Mage Noir, il jeta un coup d’œil à la fenêtre, regardant l'ordre et la ville qu'il avait si longtemps servi avec dévotion mais qu'il venait de trahir, d'un air las.

"Me voilà donc au pieds du mur, plus seul et plus affaibli que jamais..." dit-il en retournant s'asseoir, recommençant à écrire.

"Sauves-moi..."

Il était resté de longues heures, fumant sa pipe, les yeux attentifs mais l'esprit ailleurs...

Evgueny fixait le balais des Veilleurs, le comté semblait plonger doucement dans une douce torpeur...

Le Commandant était devenu bien différent, à moins que son éloignement ne lui fit voir les choses autrement...

Il y avait des intrigues, il y avait une certaine fatigue, des tensions naquirent là où le soleil ne peut jamais luire...

Quel était donc le Mal présent ? Quel Destin la Pénombre réserve t-elle à ses enfants ?

Messages : 62 Date d'inscription : 18/07/2014

Très tard dans la nuit, jusqu'à très tôt dans la matinée, un grognon chasseur et gardien de ces Bois avait tenu un feu de camp en face de sa cabane.

Viandes cuites et poissons grillés avaient laissé une odeur marquée dans les environs proches de Sombre-Comté, et on avait aperçu le grand loup noir, avec l'os d'une côtelette entre les crocs.

Chacun vivait son approche du danger imminent à sa façon, visiblement.

» Rumeurs de Sombre-comté relative a la présence de la famille Ravaillac.
» [23/04/16] Perquisition à Sombre Comté
» Sombre-comté et ses alliances
» Bâtiments de Sombre-Comté
» Le Petit Journal de Sombre-Comté