Rumeurs de Sombre Comté

au petit matin unicae arriva dans la taverne, un sourire au lèvres en sentant ce doux parfums, elle sourit, et se dirigea vers les réserves sortir une très bonne bouteilles qu'elle emmena avec elle

La rumeur court sur le Sergent Saleth Lowell qui aurait remis son tabard et son insigne avant de reprendre la route pour la baie du butin, il aurait prit soin de prendre son fils avec lui.

Ce matin, Marner était le seul absent dans le comté. Effectivement, très tôt le matin le Gilnéen a pris sa bécane et s'est dirigée vers la Capitale. Une fois revenu au bois il posa une caisse en bois de taille moyenne sur le bar de la taverne, contenant confiseries et pâtisseries en tout genre.

Tentant de remonter le moral des autres en ces temps difficiles, il y ajouta une note disant ;
"Service libre, régalez-vous bien!" -Marner.

Passant par là, Melken prit une pâtisserie offerte et se remit à son travail : Voilà une paire de nuits que le Veilleur s'employait à traquer les worgs des environs de Sombre-Comté, leur survie étant capitale pour éviter tout débordement comme celui de l'attaque de worgen, il y a peu.

On aura pu l'apercevoir aux côtés de trois jeunes worgs, pattes bandées ou morceau de viande séchée dans la gueule.
Si l'homme n'avait pas de grands talents dans la magie ou la couture, il usait sans parcimonie de ses talents de chasseur-pisteur.
Le bruit courrait qu'il détenait son propre moyen de pacifier les bêtes sauvages, momentanément, au moins : peut-être certaines d'entre elles pourraient-elles survivre à l'influence du mal actuel qui pesait sur le Bois, guidées par la bête noire avec son tabard de veilleur.

La demi-elfe veillait tard ce soir là.

La lune étais déjà haute dans le ciel et l'auberge était fermer, les Veilleurs dormais ou vaquais à leur occupations tardive comme elle. Plongée dans l'obscurité, Sonaria s'éclairais d'une bougie, penchée sur un épais Libram aux couleurs brunis où elle s'appliquait à décrire une rune circulaire avec un pinceau sur une page vierge. Un avis de recherche pour une certaine "Joey" traînais à côté d'elle, poser en désordre sur un coin de sa table avec une coupe de vin vide, une tasse à café et une assiette où trônais encore un gâteau sec oublier.

Cette femme était bien ce qu'elle pensais, mais il lui avais fallu lire le rapport sur l'agréssion de Gangaron pour se rendre-compte de la gravité du sujet. Encore. Elle lui en voulais de s'être laisser avoir aussi bêtement par une démoniste mais elle ne pouvais en même temps que le plaindre...

Du bruit.

Alors que Yul entraînait dans la taverne, les oreilles pointues de Sonaria lui firent entendre ces derniers mots. Dans son coin de la taverne, plongée dans l'obscurité et gardée par sa seule bougie, elle fut tentée de l'éteindre pour se faire invisible dans les ombres, discréte, à l'affut, mais...elle n'en fis rien, et se contenta de sourire, ne relevant pas le nez pour compléter la rune sacrée qu'elle travaillait.

Le Veilleur ne dormit pas de la nuit, la proposition du Sergent Elunar l'a certainement gardé éveillé.

Il se décida après un long moment d'aller vers la capitale très tôt le matin avec sa bécane, sans forcément se vouloir discret. Vers environ sept heures il revint au comté, transportant du matériel en tout genre sur sa machine.. ainsi qu'un vieux système de lance à eau portatif complètement délabrée.

Après une sieste de courte durée, Marner s'enferma dans la forge et commença à bricoler et à rénover l'engin jusqu'à ce que son service commence.

Geurius avait maigrie, il semblait de plus en plus malade, en ce moment constamment irrité on peut le voir vagabonder dans la forêt, arc à la main, cherchant visiblement quelque chose. Son état s'aggrave et après s'être fait briser les cotes par un druide il semble de plus en plus s'enfoncer dans une spirale infernale.

De son coté, Franziska, ou Poison comme on la surnommait a Gilnéas, patrouillait, s'assurant de rester a l'écart du maximum de monde possible. Elle restait froide, impassible, inexpressive, comme si rien ne la touchait ou ne la concernait. Le seul signe de sociabilité fut un petit signe amical a un enfant, qui fut repoussé quand il tenta de faire un câlin.

Adirelia était de retour et discuté avec Marner, suite a cette discussion, elle avait accroché la ceinture qui tenait douze têtes de worgens sauvages a la porte de l’hôtel de ville. La berserker avait ensuite passé la nuit au dispensaire, la tête sur le matelas de Matsu, le corps au sol. (ce qui sera probablement flippant pour une Matsu sortant des limbes du sommeil ^^)

Fran de son coté avait eu ordre des sergent de se reposer ... Elle l'appliqua, refusant les soins proposés, elle avait fait cautériser ses plaies au fer rouge a la taverne, Vic' se contenta de soulager la douleur malgré le fait qu'elle n'en montre strictement rien.

Evgueny était passé la voir hier soir, cela lui avait redonné du baume au cœur même si cette visite avait sembler trop brève à la Paladin, leur échange en public toujours aussi pudique. Elle avait été heureuse de le voir, elle savait qu'il reviendrait dès qu'il le pourrait ne serai ce pour la saluer.

Pendant qu'elle devait se reposer du à ses légers soucis, elle avait apprit l'attaque de la nuit de chevaliers de la mort, donc un porter aux dires de ses compagnons un tabard de la Lame d'ébène, c'est ainsi qu'elle compris pourquoi les Paladins de la Rédemption avaient proposés leur aide dans la traque aux non-morts renégats. Car à ses yeux c'étaient des renégats, la Lame d'ébène ayant fait depuis plusieurs années allégeance au Roi.

Elle ne sais pas non plus étonnée d'apprendre qu'un Chevalier de la Lame d'ébène se soit rendu au prés du Sergent Herriston proposant e l'aide, bien que celui ci l'ai un peu débouté, elle se demandait si un de ses supérieurs viendrait aux bois dans le but de laver leur image ternis part le Baron Von Tarkin.

Elle savait que Hurlevent ne pouvait pas leur venir en aide dans l'immédiat, moult affaires la concernant sont portés par les vendeurs et commerçants itinérants. Elle se demandait combien de temps cela allait il durer et à quel moment la population des alentours s’inquiéteraient réellement de la menace au lieu de leur éphémère plaisir.

Trois heures du matin, Clegane ouvrit les yeux. Insomnie ? Non, une impérieuse et irrépressible envie de pisser l’avait réveillé. Il partit donc à l'extérieur de l’auberge. Il attacha le jeune Bart, qui ne cesser de grogner, puis se mit en quête de trouver un bon endroit pour se soulager.

Une fois sa petite affaire effectuée puis après avoir essuyé ses mains sur son futal (hygiène oblige). Clegane scruta avec méticulosité ce légendaire village. Il regarda les douze têtes de loup que le vent tentait d’animer en vain , sur le cordage, son regard se tourna également vers la caserne. 
Si pour certains ces bois et ce village étaient le symbole des cauchemars des enfants ou le cauchemar de certains malotrus, pour Clegane, il était le signe d’une belle retrouvaille.

Il gratta sa barbe pensif avant d'entreprendre de faire le tour de la fontaine. On pourra entendre ainsi Clegane marmonner pendant quelque minute comme vieux schnock. 

Il jeta un dernier coup d’œil au village, essayant de visualiser non sans mal la grange, on ne sait jamais si la belle Mandy souffre d’insomnie, faut bien se rincer l’œil. Puis il finit par s’engouffrer de nouveau dans l’auberge.